Visite virtuelle au musée de Bagdad !

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Si vous voulez faire une très belle visite virtuelle du musée archéologique de Bagdad, mise au point par des chercheurs,  en Italien, en Anglais ou en Arabe, C'EST ICI SUR CE LIEN !
 En cliquant sur chaque porte, on entre dans une pièce consacrée à une époque. Chaque objet est décrit par une fiche, certains même par des vidéos. Magnifique.
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T
<br /> non seulement cette visite virtuelle du musée de BAGDAD m'a ravi,mais en plus,elle m'a permis de mieux "assimiler" cette culture ancienne qui me passionne(celle du pays entre 2fleuves(= la<br /> MESOPOTAMIE) que j'ai commencé à aborder en me rendant en IRAN( DUR-UNTASH/CHOQA E ZANBIL et SUSE...et bientot en SYRIE( MARI)....<br /> <br /> <br />
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T
<br /> une visite "virtuelle" émouvante et trés riche que l'on aimerait pouvoir poursuivre sur place,tant à BAGDAD que sur les nombreux sites archéologiques iraqiens qui,j'ose l'espérer,sont protégés!<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Heureuse que cette visite virtuelle vous ait plu ! Pour répondre à vos inquiétudes, de gros efforts ont été faits en Irak pour protéger ce magnifique patrimoine. Notamment de nombreux objets ont<br /> été restitués au Musée de Bagdad, et des efforts considérables , pour ce pays sous haute tension , sont faits pour éviter la folie des pillages de 2003. Les irakiens sont toujours trés fiers de<br /> leur culture, mais il leur est difficile de surveiller tous les sites à ciel ouvert de façon permanente.<br /> Et pour répondre à votre autre message, il y eu en 2008 une grande exposition d'art contemporain irakien à l'UNESCO sur l'initiative d'un ami collectionneur et galliériste.<br /> Notre association organise chaque année une exposition d'oeuvres de plasticiens irakiens que nous invitons en résidence à La Rochelle. D'ailleurs nous préparons une Rétrospective, avec une<br /> soixantaine d'oeuvres, du 15 au 28 février prochain.<br /> Effectivement nous considérons qu'à travers la création, les échanges culturels et l'éducation, le rapprochement des nations peut se faire. C'est d'ailleurs pour cela que nous avons maintenant des<br /> contacts avec la diplomatie française et irakienne.<br /> Bien à vous.<br /> S.H.L<br /> <br /> <br />
C
Lu ce matin avec joie, intérêt...et une certaine appréhension la dépêche suivante: les photos montrant les Irakiens fêtant le départ des Américains sont touchantes, mais on ne peut pas s'empêcher de repenser aux (presque) mêmes photos montrant les mêmes Irakiens fêtant les mêmes Américains venant les délivrer de Saddam Hussein. Entre les deux événements, que de morts, de destructions inutiles...<br /> Espérons, et ne disons pas Insh'Allah: le fatalisme n'est plus de mise, c'est le volontarisme qui va devoir s'imposer maintenant...<br /> Caecilia<br /> <br /> Le départ des troupes américaines des villes et agglomérations irakiennes a été célébré par des milliers de personnes dans un contexte de sécurité renforcée pour éviter que de nouveaux attentats ne gâchent la fête.<br /> <br /> Les précisions de Bertrand Vannier. (0'57")<br /> <br /> <br /> Les célébrations ont commencé hier à Bagdad, avec la diffusion de chants patriotiques par des hauts-parleurs installés dans les commissariats et les barrages routiers, des défilés de véhicules de l’armée irakienne décorés de fleurs et de drapeaux irakiens et un grand concert l’immense parc Zawra de la capitale. Un compte à rebours a même été affiché à la télévision irakienne pour accompagner la fin des opérations de retrait des soldats américains fixée à lundi minuit.<br /> <br /> Pendant ce temps, dans la matinée avait eu lieu la passation de la dernière des 86 positions américaines à Bagdad. Les Irakiens ont repris possession de l’ancien ministère de la Défense, construit en 1938 et occupé depuis 2003 par les forces américaines.<br /> <br /> Car à partir d’aujourd’hui, ce sont les 500.000 policiers et 250.000 militaires irakiens qui prennent en charge la sécurité dans les localités. La journée a été décrétée "jour de la souveraineté nationale" et fériée.<br /> Les précisions d’Angélique Férat, à Amman (1'49")<br /> <br /> <br /> Le retrait américain des villes s’inscrit dans l’accord de sécurité signé en novembre par Bagdad et Washington et qui doit aboutir fin 2011 au départ de toutes les troupes d’Irak.<br /> <br /> Mais il intervient dans un contexte particulier : des attentats ont tué plus de 250 personnes en un peu plus d’une semaine, laissant craindre un regain de violence dans les centres urbains du pays après le départ des derniers soldats américains. Le gouvernement irakien et le commandant des forces américaines au Moyen-Orient, le général David Petraeus, ont beau assurer que les forces de sécurité locales sont prêtes, la confiance dans les forces irakienne a été sérieusement ébranlée.<br /> Anne Jocteur Monrozier, avec agences
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